Jamais encore je n’ai passé les fêtes de fin d’années en Lettonie là où s’arrête le bitume et même plus loin, au milieu des enfants de Grasi dans la clairière de l’immense forêt où seuls les loups, les élans, les cigognes et les ondes positives retrouvent leur chemin sans se perdre…
Pourtant il reste juste une semaine avant Noël, mais j’ai aussi une famille qui m’attend là bas en Gascogne sur les coteaux entre Save et Gimone… Alors je m’envole cette semaine pour un mois au pays des oies.
Il y a les oies de Toulouse, mais aussi de Gimont, de Masseube… Bref, même si pour des raisons de facilité et de compétitivité les canards ont progressivement remplacé les oies pour la production de foie gras, nos oies sont toujours là ! Elles attendent paisiblement la chute de la société de consommation pour reprendre leur place d’honneur.