"Dès qu’ils sentent monter en eux la colère ou l’exaspération, combien parmi vous pensent à canaliser cette énergie afin d’éclairer leur ville ou faire tourner la roue de leur moulin ? (Il faut évidemment transposer ces images…) La plupart se laissent emporter et se vantent ensuite : « Hein ? Je lui ai donné une bonne leçon, à cet imbécile ! » Dans leur colère, ils ont dit ce qu’ils pensaient, bien sûr, mais surtout ils se sont vidés de leurs énergies, et il leur faut ensuite beaucoup de temps pour les récupérer.
Mais la colère n’est qu’un exemple. Il y a tellement d’autres cas où on gaspille de précieuses énergies ! Prenons seulement la médisance, qui est un défaut tellement répandu. Parler des autres pour se plaindre d’eux, les critiquer, les accuser, s’immiscer dans leurs affaires, cela vide le cerveau et le cœur. C’est donc à vous de vous étudier et de remarquer les circonstances dans lesquelles votre force s’en va ou revient, et d’analyser les causes de cet état."
Mais la colère n’est qu’un exemple. Il y a tellement d’autres cas où on gaspille de précieuses énergies ! Prenons seulement la médisance, qui est un défaut tellement répandu. Parler des autres pour se plaindre d’eux, les critiquer, les accuser, s’immiscer dans leurs affaires, cela vide le cerveau et le cœur. C’est donc à vous de vous étudier et de remarquer les circonstances dans lesquelles votre force s’en va ou revient, et d’analyser les causes de cet état."
Osraam M. Aïvanhov