Riga c’est aussi une marque ! il y a des chocolats, des saucissons (lettons…) et bien d’autres choses encore, c’est une référence (de qualité ???)… Mais il y a aussi les pétoires, ces mobylettes d’un autre temps qui circulent encore, on en voit quelques unes, par exemple celle d’un ouvrier de l’entreprise qui restaure l’extérieur de Berzi (toit et façades).
Aujourd’hui ma matinée a commencé au garage qui entretien nos véhicules. Il fallait régler de nouveau la pollution pour passer pour la troisième fois le contrôle de la Dacia qui dépassaient les normes. On ne rigole pas avec les kontroles ici et ce n’est pas donné. Ceux qui connaissent les tarifs en France pourront comparer. Le contrôle technique des voitures et tout ce qui roule sur les routes en Lettonie c’est une fois par an dès la première année. Tarif: 68 lati soit 96€ !
Finalement à la troisième fois, le taux de pollution était bon: 1.34.
En rentrant j’ai croisé un pèlerinage qui se rendait à Aglona, “le Lourdes letton” qui se trouve en Latgale, la région kato de Lettonie, plus que 150km environ, ils y seront pour la grande fête du 14-15 août.
Et l’après-midi, juste le temps de lire ma messagerie internet et Valerijs me rappelait à l’ordre. il fallait que nous nous rendions chez Janis, l’homme au doigt d’or de Cesvaine pour réparer la faucheuse qui une fois encore a happé un galet. J’aime ces ateliers de mécanique, les odeurs, les bruits. Tout cela me rappelle de bons souvenirs d’enfance lorsque j’allais à la forge de Saint Bernard de l’abbaye Sainte Marie du Désert admirer mon grand-père Giovanni qui réparait ou inventait des machines….
La faucheuse remontée je suis revenu au bureau mais on me demandait en haut de la colline de l’ours pour vérifier les niveaux des grands portails avant de couler le béton…
Puis ce sont les enfants de Klavas qui sont arrivés au bureau, finalement la journée était déjà finie et j’étais entrain de me poser la question: as-tu été vraiment efficace aujourd’hui ?