Lorsque je rentre en France, je ne tiens pas en place, je reprends vite mon bâton de pèlerin pour continuer d’ouvrir de nouveaux chemins Sud-Nord, un peu comme mon ami Serge Grandais, l’Ange de Compostelle que j’ai connu en Lettonie, il passait à pied... On pourrait appeler cette démarche plus simplement “France-Lettonie”, ouvrir de nouvelles voies de collaborations entre ces deux pays européens, il en existe, j’en connais, mais elles restent encore timides comme les Lettons. Mais pourquoi vouloir créer ce qui existe déjà ? Pourquoi ne pas simplement essayer de débroussailler l’existant ? C’est ce qui amena le village d’enfants de Grasi en Lettonie à se rapprocher de Bordeaux, ville jumelée avec la capitale Riga par un accord de coopération depuis 1993. Et comme les enfants de Grasi proviennent pratiquement tous de Riga…Un jumelage qui pourrait-être porteur d’un programme pour les jeunes ? Pourquoi pas ? Nous en reparlerons dans les prochains jours car cette semaine je suis à Bordeaux intra muros… pour ça.
Peut-être la Lettonie aura-t-elle un jour pignon sur rue en France comme la France s’expose déjà à Riga: Boutiques de luxe, restaurants, boulangerie, fromages, vins… de Bordeaux… etc
J’aime bien cette rue de Bordeaux (mis à part les crottes de chiens et les poubelles) Tu es introduit par la Porte de Bourgogne sous l’Arc de Triomphe qui t’entraîne soudainement dans un mélange suave de cultures et d’authenticités. C’est comme là bas ! Manquait juste la Lettonie…