Le départ du Gers avait lieu pour moi le dimanche 5 septembre. Une voiture en provenance de Labenne dans les Landes me prenait en passant au péage de l’autoroute à Saint Gaudens. Nous allions rejoindre Grenoble d’où le convoi démarrait le lundi soir.
Première étape pique-nique sur l’aire de Carcassonne. 31°c
Tiens ? A Tricastin dans la Drôme provençale, une éolienne nouvelle génération à refroidissement à eau ? On n’arrête pas le progrès. Bon, ça réchauffe un peu l’eau… le climat s’en trouve modifié, la faune et la flore locale a disparue, remplacée par des crocodiles. On n’arrête pas le progrès. Bon, il y a la gestion des déchets radioactifs qu’on n’est pas prêt de résoudre encore, laissons ça aux générations futures, un beau cadeau empoisonné de leurs ancêtres consommateurs. On n’arrête pas le progrès. Mais au fait, ces 4 ou 5 éoliennes perdues au milieu de ce tchernobyl français, c’est de la provoc ? Ou bien pour se donner bonne conscience ?
Et nous voici au point de ralliement
Une nuit paisible à Grenoble, derniers préparatifs avant le grand départ le lundi en soirée.
Pendant le repas offert par la Communauté d’Emmaüs nous pouvons lire et apprécier les 3 règles dictées par l’Abbé Pierre (notre société décadente devrait s’en inspirer…)
Et après la photo de famille, en route… Toute la nuit nous avons roulé, 10 véhicules faisaient partie du convoi. Prochaine étape: Leipzig en Allemagne.
A suivre.