Ce n'est pas que je n'ai pas d'inspiration pour écrire, il y a tellement de choses intéressantes qui se passent dans le monde, mais mon boulot me prend toute l'énergie. En fait, à part mon actualité de Grasi qui se résume à "boulot", pas grand-chose à raconter de plus. Si, l'Ambassadeur de Belgique et son épouse nous ont quitté dans la matinée après une dernière visite au village d'enfants. Le 15 septembre, leurs successeurs s'installeront à Riga et nous espérons bien faire aussi leur connaissance. Seront-ils aussi sympas que leurs prédécesseurs...?
Nos Volontaires from England Robert and Robert, le Gersois Bernard, les Lettons Normunds un Edgars continuent de m'épater. Ils n'arrêtent pas ! Vont-ils laisser des travaux aux Espagnols qui arrivent samedi ?
A Samatan et ses environs comme en Lettonie du côté de Grasi, tout me monde sait que Bernard est coiffeur ! Il faut en profiter !
Les Lettons sont passés sans transition de la Lada ou la Moskovitch pourrie à la BMW (pourrie aussi ?). Et même si la plupart de ces bolides importés après avoir vécus 2 ou 300 000 km dans les pays riches ont encore quelques chevaux vivants sous le capot, il faut arriver à les maîtriser. On joue avec, on fait des pirouettes, des dérapages, des démarrages en trombe dans la rue, on double dans les virages, on double même quelques fois en troisième position du moment qu'il y a quelqu'un devant soi, mais il arrive que la nature rappelle à ces indomptables supermen (ou inconscients ?) qu'ils ne sont que poussière...(d'un peu plus il allait me polluer le lac de la karjera à l'endroit même où je fais mes photos de coucher de soleil)
Commentaires
Faits du jour, sans plus...
Ce n'est pas que je n'ai pas d'inspiration pour écrire, il y a tellement de choses intéressantes qui se passent dans le monde, mais mon boulot me prend toute l'énergie. En fait, à part mon actualité de Grasi qui se résume à "boulot", pas grand-chose à raconter de plus. Si, l'Ambassadeur de Belgique et son épouse nous ont quitté dans la matinée après une dernière visite au village d'enfants. Le 15 septembre, leurs successeurs s'installeront à Riga et nous espérons bien faire aussi leur connaissance. Seront-ils aussi sympas que leurs prédécesseurs...?
Nos Volontaires from England Robert and Robert, le Gersois Bernard, les Lettons Normunds un Edgars continuent de m'épater. Ils n'arrêtent pas ! Vont-ils laisser des travaux aux Espagnols qui arrivent samedi ?
A Samatan et ses environs comme en Lettonie du côté de Grasi, tout me monde sait que Bernard est coiffeur ! Il faut en profiter !
Les Lettons sont passés sans transition de la Lada ou la Moskovitch pourrie à la BMW (pourrie aussi ?). Et même si la plupart de ces bolides importés après avoir vécus 2 ou 300 000 km dans les pays riches ont encore quelques chevaux vivants sous le capot, il faut arriver à les maîtriser. On joue avec, on fait des pirouettes, des dérapages, des démarrages en trombe dans la rue, on double dans les virages, on double même quelques fois en troisième position du moment qu'il y a quelqu'un devant soi, mais il arrive que la nature rappelle à ces indomptables supermen (ou inconscients ?) qu'ils ne sont que poussière...(d'un peu plus il allait me polluer le lac de la karjera à l'endroit même où je fais mes photos de coucher de soleil)
Bienvenue sur mon blog qui dura du 25 mars 2005 au 30 mai 2015, dix ans de ma vie en Lettonie. Pour tout comprendre, reprendre ci-dessous les archives depuis le début : https://jeanlv.typepad.fr/mon_weblog/2005/03/index.html
« Un jour, j'avais les pieds nus et aucun moyen d'obtenir des chaussures. J'allais trouver le chef de Kufah, dans un état de grande misère. Et là, je vis un homme qui n'avait pas de pieds. Je me tournais vers Dieu pour lui rendre grâce, repartis, et supportais désormais mes pieds nus avec patience.»
Golistan de Saadi (poète persan du XIIIe siècle)
Relevé sur le site asin du Gers "Anebeauté": "Quand on a un PDG (Paysan du Gers) dans ses relations, il faut le faire savoir. Jean a laissé ses poules gasconnes des coteaux de Sabaillan pour le village d'enfants de Graši en Lettonie. Jour après jour, il relate avec gourmandise (souvent intellectuelle, parce que la bouffe lettone...) les grandes heures et les petites minutes de cette belle aventure. Des relations internationales à hauteur des gens, avec des vraies relations et des vrais gens, comme disent nos hommes politiques.
Et la plume/clavier de notre gascon s'envole quand le sujet ou l'actualité s'y prêtent (j'ai dit "hommes politiques", moi ?)."